lundi 6 février 2012

Conan le barbare

Réalisé par John Milius
Avec Arnold Schwarzenegger, James Earl Jones, Max von Sydow

Encore enfant, Conan assiste impuissant au massacre de ses parents par le cruel Thulsa Doom, et est réduit en esclavage. Enchaîné à la roue de douleur, il y acquiert une musculature peu commune qui lui permet, adulte, de gagner sa liberté comme lutteur. Désireux d'assouvir sa soif de vengeance, il part accompagné de deux voleurs, Subotai et Valeria, à la recherche de Thulsa Doom...


C'est quand même autre chose
J'aime faire les choses bien. Du coup, après avoir vu cette daube de Conan 2011, je me suis revu le Conan original et, excusez-moi, mais franchement là c'est carrément pas la même. 



Une scène d'anthologie
Ce Conan restera à jamais le Conan que j'imagine. Derrière cette histoire toute bête, on sent qu'il y a un monde, du pouvoir, de la magie (le plus souvent suggérée mais rarement montrée). L'enjeu, ici, est tout autre et le film a une envergure que ne trouvera jamais le clip de 2011. Pour faire court, vous pouvez aisément laisser tomber les reboots sans saveur et vous plonger dans ce monument du genre. A noter tout de même qu'il n'est pas nécessaire de regarder les suites qui n'ont jamais su garder le souffle et la puissance du premier.

2 commentaires:

  1. "les" suites ? Je croyais que la seule suite (avec Schwarzy du moins) était Conan le Destructeur ? Je viens de voir qu'il y avait eu une espèce de spin off, Kalidor (1985), où Schwarzy joue le rôle de Conan sans s'appeler Conan pour des raisons de droit, et dont les critiques sont pas terribles...

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  2. Je pensais effectivement à "Conan le destructeur" et "Kalidor" qui est un Conan non assumé. Et ce sont 2 daubes intersidérales.

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